[iHadj Abdallah Rami mène la course devant Ronsin - Tayanto en 1954 .La course se déroulait en circuit fermé, ici au quartier industriel côté usine Petit Jean. C’était aussi le temps des Wolswagen là , à gauche.
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[b]Le grand prix de la fête des oranges en 1957. Le circuit passait par le boulevard Mohamed V et sur la corniche .Ici Hadj Abdallah Rami bien détaché. Feu Belcaid un coureur le conseillait pour se maintenir encore 2 tours. Encore 2 tours seulement et ce grand public t’ovationnera plus chaleureusement comme d’habitude !
[b][i]Après le plat, venant des Ouled Teima, l'arrivée sera au sommet de la Kasbah. C'était le Tourmalet d'Agadir. Les forces étaient épuisées mais la victoire est au bout de ce col, il faut résister.
[b][i]Aie !Aie ! C'est dur le dernier virage à épingle d'Agadir Oufla .Hadj Abdallah Rami avait gagné cette épreuve en 1955. Il faut dire qu’il avait de ces mollets et cuisses bien garnis. L’océan et le port regardaient de loin ce spectacle. 1956. Je me rappelais qu'on escaladait la montagne de la Kasba à pieds et on courait autour de la citadelle pour voir la course dans tous les angles et d'une façon aérienne . Un trés beau spectacle et on redescendait à travers les euphorbes, vraiment satisfait du Week End.
[b][i]Il n'y a pas que la côte de la kasbah qui est dure, mais aussi celle-ci d'Abouda sur le bord de mer en revenant d’Essaouira. Les coureurs laissaient "leurs plumes" sur cette montée, heureusement que l'oxygène et l'iode ne manquaient pas. Allez Ronsin... allez Tayanto...Abdallah Founti...Ben Aissa...Abdelkrim...Mortaji Moulay Hassan...Zâaf A...Assila et les autres .1956